Pourêtre honnête, en termes de grâce et de sensualité, rien, mais absolument rien, ne détrône la robe, sauf peut-être l’absence de cette robe. Et encore…Quand ce privilège essentiellement féminin est produit dans une matière qui bouge avec les courbes, qui fait corps avec la peau, qui se moule et qui ondule, est-il utile de décrire l’effet engendré ? La tunique joue un peu cette carte-là, mais sans la proximité. Elle le fait avec un code de fluiditédoubléd’une charmante timidité.